Madre pietosa virgine

"Madre pietosa virgine" est extrait de l'opéra de Giuseppe Verdi  "La force du destin" ...

Leonora:
Madre, Madre, pietosa vergine,
perdona al mio peccato.
Maita, quell' ingrato dal core a cancelar.
In queste solitudini espiero espiero l'errore.
Pietà di me, pietà Signor,
Pietà di me, pietà Signore,
Deh! Non m'abbandonar, Pietà Pietà di me, Signore,
Deh! Non m'abbandonar, Ah!...Pietà, Pietà, di me,
***Signor.
Ah que sublimi cantici... Dell'organo i concenti che come incenso ascendono a Dio sui firmamenti, in spirano, in spirano , a quest' alma fede conforto e calma!


Choeur: (après Pietà di me, à ***)
Venite, adoremus et procedamus ante Deum
Ploremus, Ploremus coram, Domino coram, 
Domino qui fecit nos!

Leonora:
Al santo asilo accorrasi... E l'osero a quest' ora?...
Alcun potria sorprendermi !... Oh misera Leonora tremi?
il pio frate accoglierti no, non rienserà, no, no.
Non mi lasciar, soccorrimi, pietà Signor,

***pietà non mi lasciar, pietà pietà, Signor, Signor;pietà.
Deh! Non m'abbandonar, Pietà di me, Pietà Signor,

Choeur: (après Pietà Signor, à ***)
Ploremus,
Ploremus coram, 
Domino qui fecit nos!

Leonora:
Pietà di me, Pietà Signor,Pietà di me, Pietà Signor.


 

 

Vos voix en numérique: (avec Leonora)

Tutti:


Soprano:


Alto:


Tenor:


Basse1:

Basse2:

Leonora:

Vos voix seules ( sans Leonora)

Tutti:     

Soprano: 

Alto:       

Tenor:     

Basse 1:  

Basse 2:   



 

 

 

Venite, adoremus et procedamus ante Deum
Ploremus, Ploremus coram, Domino coram, 
Domino qui fecit nos!

 

Ploremus,
Ploremus coram, 
Domino qui fecit nos!

 

 

Partition

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Madre pietosa vergine la forza verdiMadre pietosa vergine la forza verdi (406.43 Ko)

La force du Destin

La forza del destino (en français La Force du destin) est un opéra en quatre actes de Giuseppe Verdi, sur un livret en italien de Francesco Maria Piave, créé le au théâtre impérial de Saint-Pétersbourg, puis, dans une version révisée, à la Scala de Milan le .

En janvier 1861, Verdi répond à une demande du tsar Alexandre II de Russie, adressée par l'intermédiaire du ténor Enrico Tamberlick. Après avoir initialement envisagé un projet d'opéra sur Ruy Blas, il accepte, le 3 juin 1861, le drame de Rivas, Don Alvaro o la fuerza del sino, que lui soumet le théâtre impérial.

Le livret est confié à Francesco Maria Piave, et la partition composée entre juin et novembre 1861.

L’action se joue en Espagne et en Italie au milieu du XVIIIe siècle.

A Séville, l’histoire d’amour entre Leonora di Vargas et Don Alvaro tourne au tragique lorsque ce dernier tue accidentellement le père de la jeune fille, le marquis de Calatrava.

Craignant la vengeance de son frère, Carlo, Leonora se réfugie au couvent de Hornachuelos, alors qu’Alvaro s’engage dans l’armée espagnole en Italie, au Sud de Rome.

Il y sauve la vie d’un adjudant qui n’est autre que Carlo, mais ils ne se reconnaissent pas tout de suite. Blessé plus tard lors des combats, Alvaro récupère, mais une fois la vérité révélée, le duel entre les deux hommes est évité de peu. Alvaro, retourne en Espagne. Cinq ans plus tard, Carlo retrouve son ennemi devenu homme d’église à l’ermitage de Hornachuelos. Cette fois, Alvaro se défend et blesse mortellement Carlo, ne pouvant cependant empêcher ce dernier de poignarder sa propre sœur.


Première partition bilingue éditée à St Petersbourg

Description de cette image, également commentée ci-après
Rosa Ponselle et Enrico Caruso
dans La forza del destino

Giuseppe Verdi

Description de cette image, également commentée ci-après
Giuseppe Verdi photographié par Giacomo Brogi
 

Caricature de Verdi pour le magazine Vanity Fair (1879)

Giuseppe Fortunino Francesco Verdi, né Joseph Fortunin François Verdi le aux Roncole et mort le à Milan, est un compositeur romantique italien. Son œuvre, composée essentiellement d’opéras, unissant le pouvoir mélodique à la profondeur psychologique et légendaire, est l'une des plus importantes de toute l'histoire du théâtre musical.

Verdi est l’un des compositeurs d’opéra italien les plus influents du XIXe siècle, influence comparable à celle de Bellini, Donizetti, Puccini et Rossini. Ses œuvres sont fréquemment jouées dans les opéras du monde entier et, dépassant les frontières du genre, certains de ses thèmes sont depuis longtemps inscrits dans la culture populaire comme « La donna è mobile » de Rigoletto, le « Brindisi » de La traviata, le « Va, pensiero » de Nabucco ou la « Marche triomphale » d'Aida. Les opéras de Verdi dominent encore le répertoire de l'art lyrique un siècle et demi après leur création.

Visionnaire et engagé politiquement, il demeure, aux côtés de Garibaldi et Cavour, une figure emblématique du processus de réunification de la péninsule italienne, le Risorgimento.

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Date de dernière mise à jour : 01/02/2017