La plume

La plume est un texte poétique de Emile Gardaz (1931-2007) mis en musique par Patrick Bron (1953-), tous deux originaires de Suisse.

Tutti

Soprano

Alto

Homme

Le moi-/neau a per-du sa /plu-me quand là-/haut fu-yait un a-/vion. 
L'ho-ri-/zon se pa-yait un /rhu-me. 
O / / //Il tom-/bait des oeufs de pi-/geon. /
Le moi-/neau se di-sait: Je /res-te. C'est trop /loin, la Mau-ri-ta-/nie. En hi-/ver, je met-trai ma /ves-te. C'est i-/ci, mon fo-yer, mon /nid. 
Le moi ////////nid. Le meil-/leur ne se voit qu'à /pei-ne. Un sou-/rir' par-fois fait l'é-/té. 
Le grand /monde est vo-tre do-/mai-ne. 
O / / //Il com-/mence au bout du sen-/tier. /
Le moi-/neau que le paon mé-/pri-se sa-vait /lire en-tre les cail-/loux, Du bis-/trot au toit de l'é-/gli-se il sif-/flait "qu'on est bien chez /nous". 
Le moi ////////nous". Si un /jour les bran-ches sont /mor-tes, vous n'en-/tendrez  plus les oi-/seaux. Plus de /bois pour les bel-les /por-tes. 
O / / //Pour la /flûte, il faut le ro-/seau. /Quand le /ciel frap-pait sur l'en-/clu-me, quand l'é-/clair zé-brait nos co-/teaux, un moi-/neau m'a don-né sa /plu-me. Pi-quez /la sur vo-tre cha-/peau. /Un moi-/neau m'a don-né sa /plu-me.-Gar-dez-/la pour .é-crire-un-/mot. /

Le moi-/neau a per-du sa /plu-me quand là-/haut fu-yait un a-/vion. 
L'ho-ri-/zon se pa-yait un /rhu-me. 
O / / //Il tom-/bait des oeufs de pi-/geon. /
Le moi-/neau se di-sait: Je /res-te. C'est trop /loin, la Mau-ri-ta-/nie. En hi-/ver, je met-trai ma /ves-te. C'est i-/ci, mon fo-yer, mon /nid. 

Le moi ////////nid. Le meil-/leur ne se voit qu'à /pei-ne. Un sou-/rir' par-fois fait l'é-/té. 
Le grand /monde est vo-tre do-/mai-ne. 
O / / //Il com-/mence au bout du sen-/tier. /
Le moi-/neau que le paon mé-/pri-se sa-vait /lire en-tre les cail-/loux, Du bis-/trot au toit de l'é-/gli-se il sif-/flait "qu'on est bien chez /nous". 
Le moi ////////nous". Si un /jour les bran-ches sont /mor-tes, vous n'en-/tendrez  plus les oi-/seaux. Plus de /bois pour les bel-les /por-tes. 
O / / //Pour la /flûte, il faut le ro-/seau. /Quand le /ciel frap-pait sur l'en-/clu-me, quand l'é-/clair zé-brait nos co-/teaux, un moi-/neau m'a don-né sa /plu-me. Pi-quez /la sur vo-tre cha-/peau. /Un moi-/neau m'a don-né sa /plu-me.-Gar-dez-/la pour .é-crire-un-/mot. /

Le moi-/neau a per-du sa /plu-me quand là-/haut fu-yait un a-/vion. 
L'ho-ri-/zon se pa-yait un /rhu-me. 
Il tom-/bait des oeufs de pi-/geon. 
L'ho-ri-/zon se pa-yait un /rhu-me. 
Il tom-/bait des oeufs de pi-/geon. /
Le moi-/neau se di-sait: Je /res-te. C'est trop /loin, la Mau-ri-ta-/nie. En hi-/ver, je met-trai ma /ves-te. /C'est i-/ci. 
Le moi ////////nid. Le meil-/leur ne se voit qu'à /pei-ne. Un sou-/rir' par-fois fait l'é-/té. 
Le grand /monde est vo-tre do-/mai-ne. Il com-/mence au bout du sen-/tier. Le grand /monde est vo-tre do-/mai-ne. Il com-/mence au bout du sen-/tier. /
Le moi-/neau que le paon mé /pri-se sa-vait /lire en-tre les cail-/loux, Du bis-/trot au toit de l'é-/gli-se /il sif-/flait. 
Le moi /flait. ///////flait. Si un /jour les bran-ches sont /mor-tes, vous n'en-/tendrez  plus les oi-/seaux. Plus de /bois pour les bel-les /por-tes. Pour la /flûte, il faut le ro-/seau. Plus de /bois pour les bel-les /por-tes. Pour la /flûte, il faut le ro-/seau. /Quand le /ciel frap-pait sur l'en-/clu-me, quand l'é-/clair zé.-brait nos co-/teaux, un moi-/neau m'a don-né sa /plu-me. /Pi-quez/la/Un moi-/neau m'a don-né sa /plu-me.-Gar-dez-/la pour .é-crire-un /mot./

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Date de dernière mise à jour : 15/03/2024